Histoire et parcours de Félicité Filliez

IMG_2852-ModifierD’origine camerounaise, je suis arrivée en Suisse en 1999. J’ai suivi mes études en Valais et j’ai obtenu le Brevet Fédéral de Tourisme. J’ai travaillé pendant 10 ans dans ce secteur. J’ai épousé un Valaisan et je suis devenue maman de deux enfants. Déjà dans mon enfance, je possédais des dons qui me permettaient de ressentir et de voir certaines choses que d’autres ne pouvaient toujours pas le réaliser ou le comprendre.

Mes croyances et mon amour en Dieu n’ont pas décliné. Toute ma vie, Il a été près de moi : chaque prière était entendue. Ma vie ressemblait à une vie heureuse et ordinaire, et c’est en 2009 que ces dons se sont totalement révélés en moi ici en Suisse.
Loin de mes racines et des coutumes de mon pays natal, ces dons bien connus dans les pays africains et surtout dans la région de l’Ouest-Cameroun. Les personnes qui les reçoivent sont appelées : « Magni-Sié ou Cam-Sié » qui signifie « l’Elu(e) de Dieu ou Rassembleur (se) de Dieu ». J’ai hérité de ces dons de mon grand-père maternel qui était lui-même guérisseur et médium. Il est décédé il y a déjà de longues années, je n’ai malheureusement pas pu le connaître. Dans ma famille, le don de guérison et de médiumnité se transmet depuis des décennies.

J’ai donc dû me rendre au Cameroun pour recevoir la bénédiction de mes ancêtres. Depuis mon retour en Valais Suisse, mon but est désormais de me mettre au service des personnes qui ont besoin d’une aide.

Tout le long de ce parcours entre les différentes consultations que j’ai données, j’ai toujours ressenti que ma mission était encore plus grande que les consultations en privé. Ne voulant pas limiter mes dons uniquement à la médiumnité et à la guérison en privée, j’ai choisi de donner une part de ce que j’ai reçu, et de partager mon expérience avec d’autres personnes qui pourraient être dans la même situation que moi.
Et c’est ainsi qu’un jour, je me suis mise à écrire et ceci étant guidé puisque je ne suis pas écrivain.

Toute mon inspiration s’est portée sur le mal-être et la dépression qui peuvent parfois aboutir au suicide. C’est pourquoi, toujours guidée et sous le coup de l’inspiration, j’ai créé un jour la « Méthode Lumière ».

Comme cette mission est ardue, j’ai choisi de mettre sur pieds des conférences, des séances de méditations de groupes, et d’autres choses que vous découvrirez sur ce site, afin qu’ensemble nous puissions mener cette lutte.

Lutte parce que :

– le mal-être c’est d’abord une lutte interne,

– c’est une lutte car lorsqu’on a un proche, victime de mal-être ou de dépression, on doit lutter avec lui pour l’aider à s’en sortir,

– pour certains, il vient parfois si vite et on ne s’en aperçoit que trop tard,

– pour d’autres ils naissent déjà avec ce mal en eux et doivent justement lutter chaque jour et chaque seconde pour vivre avec cette souffrance et ce combat interne.

Alors il faut lutter pour qu’il n’y ait pas de nouveaux cas tous les jours, ou pour aider ceux qui s’y trouvent déjà à retrouver la lumière et prendre plaisir à ce que la vie leurs offre.

J’ai besoin de vous, car le mal-être nous concerne tous, car si vous n’en êtes pas victime, vous avez au moins un parent, un enfant, un conjoint(e), un voisin(e), un(e) ami(e), un(e) collègue qui en est victime. Voilà pourquoi nous devons tous ensemble nous y mettre afin qu’il s’éloigne le plus possible de notre société.

« Oeuvrons ensemble pour chasser le mal-être !

Nous y parviendrons tous, car la Lumière qui l’éloignera

 est déjà en nous et au plus profond de notre cœur ».

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